séance de travail du 29/11/2012

En présence de Raphaële Jeune et Audrey Cottin
Chantapik choisit de travailler avec clément.

Bloc Note Audrey : 

Thomas + Aza,
surprise réaction du spectateur
tests sons vif fort
? d’ou vient le son? par de la surprise, recherche comment dispositif objets mêler a un son, usage different apparence trompeuse,
altereer l’id. des formes
formes inconnu
forme incoonu? surprise…
son usage fonction initiale
lampe de chevet
vidéos fonction détournement,
gags la surprise
gag? surprises?
lampe alarme
piege? objets leur noms?
du gag à l’attentat..?

Louise,
planches contact, ?,
boite
contrat triin tamm?
http://www.objectif-exhibitions.org/
objets? objet non identifiés ONI
traité comme des boites produits
photo type studio photo commercial, photo commercial, plateau cyclo:::
photo,
gabriel kuri
fluxus

Josh,
Edwin Deed?
Katharina Grosse on artnet
www.artnet.com/artists/katharina-grosse/
Katharina Grosse
documentation,
fischli weiss
kitchen
John M Armleder.
Roman Signer
PHILIPPE VAN SNICK
Gabriel Kuri

Camille, 
souvenir mémoire maladie neurosciences fil du réseau lien entre cerveau organe
ordinateur cerveau
l’imagerie du cerveau, absence de souvenir, de lien,
tissage,
reseau,
silence, silencio, david  lynch
silence,
Girl Talk

Nicolas,
modelisation de l’espace,
http://www.ubu.com/film/alys_faith.html
celui qui propose l’interaction ou celui qui l’a fait = 2
2 en action(s)
Roman Signer

 

Bloc Notes Raphaële

Thomas + Aza + Sonja

Souhaitent créer une situation de surprise. Idée d’un objet dont le visiteur s’approche pour l’observer, et lorsqu’il rentre dans une distance intime, cela déclenche une action, un son, un événement qui ne correspondent pas à l’objet observé, mais détourne leur attention. Ils imaginent un système de captation de leur présence et de diffusion d’un son dans l’espace.
Je leur suggère d’aller à l’essentiel de leur idée: la situation de surprise, et la prise de conscience que l’événement ayant produit la surprise leur est adressé. De faire avec ce qui est sur place, de ne pas tout de suite penser objet ou technique. Sur place: l’espace, leur corps, leur voix.
Ils ont rassemblé des objets: une lampe torche, un pistolet en plastique (pour le bruit),
Références: Tino Sehgal, les effets de surprise qui jouent sur le passage du réel à la réalité (la personne dans la galerie qui tombe dans les pommes, les gardiens qui accueillent le visiteur en dansant et chantant « This is so contemporary » ou dans This Situation, chaque fois qu’un spectateur rentre, les interprètes s’interrompent pour relancer la machine au début – reset), ou expo Rétrospectives – de Xavier Le Roy, où l’arrivée d’un spectateur génère un mouvement des danseurs.

 

Ingrid

Travaille sur la mémoire défaillante, et souhaite rendre compte des bugs mémoire en rapprochant cerveau et ordinateur. Créer une interface qui mette en jeu une défaillance, un blanc, un trou. Question du défaut dans la perfection mathématique de l’algorithme informatique, et de l’erreur comme événement.

André Cadere considérait les erreurs de son système de combinaison comme des événements, il disait  » Une erreur est l’événement qui se passe ici et maintenant, sans jamais se répéter. Se répétant, elle n’en est plus une mais devient un nouveau système. »

 

L’intelligence artificielle se rapproche de plus en plus de la complexité des circuits neuronaux en éliminant l’erreur.

Voir aussi le collection 1.0.3, avec les Planiscopes, http://projetmisma.free.fr/SimpleViewer/index.html

 

Camille

Partie des mêmes prémisses qu’Ingrid (la mémoire et ses défaillances), elle souhaite travailler sur les connections. Les coupures. Instaurer un dysfonctionnement.

Suggestion de travailler sur la circulation des fluides dans l’ENSCI et d’imaginer de les perturber ou de simuler une perturbation.

 

Nicolas

Son thème est l’énergie produite par l’humain. Il envisage une machine qui permet de générer des oeuvres d’art. Idée de l’art et de son usage. Mais s’interroger sur Qu’est-ce qu’une oeuvre, qu’est-ce qu’un artiste?

Question de la participation dans l’art, de l’art comme performance. Cf livre de David Davies, Art as Performance, et The art of participation, 1950 to now.

Cf la art machine de Keith Tyson

Josh

S’intéresse aux micro-événements, aux petites actions du quotidien, fait des tests chez lui: souffler de la farine avec un sèche cheveux, par exemple. Il souhaite présenter une documentation de ces actions dans l’exposition, sous forme de petites vidéos. Je cite Boris Achour, les « Actions peu » (années 1993-1997)

ou encore Didier Courbot

La question se pose pour Josh du statut de ce qu’il montre, est-ce une oeuvre, est-ce une trace documentaire? Cela rejoint les discussions très actuelles de l’archivage de la performance. Quelques exemples de traces d’action, qui oscillent d’un statut à un autre:

Tom Marioni, One minute sculpture

 

Marina Abramovic, Seven Easy Piece, réactivation de 7 de ses performances au Guggenheim Museum en 2005

ou encore Francis Alÿs, dont les déambulations sont documentées par des photographies ou des vidéos

 

Equipe « communication »

Recherche sur la communication entre différents points et sur le brouillage des repères entre source et destinataire. Projet de plusieurs tubes avec chacun une extrémité d’expression et l’autre d’écoute, qui s’entremêlent de façon à ne plus savoir quel tube arrive où. Première hypothèse:en carton. Suggestion de travailler avec les infrastructures existentes, tube passe-câble de base, et chemin de câble déjà présent dans la salle d’expo, pour entremêler les trajectoires des tubes.

 

Danko

Cherche à effacer la limite entre un dedans et un dehors. Il s’intéresse au format de la fenêtre et de la porte, et veut susciter un entre-deux en travaillant sur la superposition de projection et de reflet.

Dan Graham, Present continuous Past

 

 

 

 

 

 

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