— ENSCI – FabLab/FabFlex

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work in progress

En partenariat Microsoft. Les expérimentations robotisées du FabLab sont réalisées avec HAL / Robot programming & Control, Thibault Schwartz 2012. Avec la participation de Félix Agid (EZCT Architecture & Design research) l’ESBA TALM, co directeur du programme de recherche ‘synthetic’ (www.synthetic-lab.net)

Partant d’une recherche de possibilités d’interventions du robot ABB 120 sur des machines d’ateliers bois, métal ou encore plastique, nous nous sommes partis sur deux pistes.

La première portant sur le béton et son moulage.

Moulage Résine

Nous sommes tout d’abord passés par une phase d’optimisation de la matière en elle même, en essayant de lui donner de nouvelles qualités, par exemple par le mélange huile et béton ou béton et résine.

En parallèle, le questionnement autour du moule était en constante interaction avec ces recherches matières.

Cette interaction nous a questionné sur le processus du moulage, différentes manières de couler, différentes manières de démouler, et à la base aussi différentes manières de créer le moule, ici avec un décapeur thermique.

 

Moulage Béton

La technique du décapeur thermique permis une grande liberté formelle, générant cependant toujours des formes organiques, qui d’ailleurs sémantiquement s’opposent à la production en série permise pas le moule.

La variation formelle vient concrètement du temps passé sur une zone précise, sur la température choisie ou encore sur les mouvements de l’outil.

De plus, la variation comme dit ci-dessus, peut venir de la viscosité des matières, de leur couleur, ou des éléments utilisés.

 

Facettage Mousse

D’un autre côté, une seconde piste a été exploré, celle du facettage.
En réfléchissant aux capacités de répétition, de programmation et d’autonomie du robot, on s’est intéressé à la répétition avec une subtile variation d’un même geste.
Nous avons dès lors débuter à sculpter de la matière par plan, en appliquant une pression sur un bloc de mousse contre un lapidaire avec dans l’esprit que la précision du robot pourrait nous apporter une multiplication des facettes importante.

 

Facettage Bois

L’expérimentation de diverses matières avec le lapidaire nous a encore ouvert des pistes. On a par exemple noté l’intérêt du bois avec cette technique quant aux différents états de surface et variations colorées obtenues selon le temps de pose contre la machine.

 

 

 

 

Moule et Facettage

Par la suite, nous avons essayé de travailler sur le résultat formelle en moulant le bloc d’aspect très minéral avec des matières d’aspect plus « organique », ou au contraire avec des matières complètement artificielles, comme la résine bétonnée.

 

 

 

 

Du facettage, et donc du travail au plan, on a enfin basculé notre façon de penser en passant au travail de l’arête. Ce retournement nous permet de nous ouvrir la voir à la recherche structurelle.

Cette recherche qui serait rendu particulièrement libre par la mise au point d’une nouvelle technique d’assemblage du bois en 2D mais en 3D, emboîtant des poutres non plus en utilisant des angles à 90° mais comme on le souhaiterait.

On utiliserait concrètement une scie circulaire sur laquelle le robot viendrait faire des découpes précises et non orthogonales.

 

 

Les formes générées et la matière, le bois, utilisée, nous pousserait à nous tourner davantage vers de la microarchitecture, ou de l’espace.

Il est aussi intéressant de remarquer que la structure pose des questionnements divers, comme l’enveloppe, l’ouvert, le fermé, les forces,…

 

 

12 3 4 5

 

Après une première étape de réflexion autour du scénario globale du projet, quelques questions se sont posées.

Tout d’abord, le mot structure, trop vaste, peinait à aider à la compréhension du projet.
Pour être plus précis, il faut d’abord bien appuyer sur le fait que cette assemblage bois ne ferait pas office de faux-plafond.  Elle vise à habiller l’espace à la manière d’un lustre.
Premièrement avec des sources lumineuses multiples, deuxièmement avec une présence matérielle imposante et troisièmement avec une dimension architecturale. La seule différence notable entre le lustre et notre objet serait son déploiement horizontal dans l’ensemble d’une pièce.
Nous avons décidé d’utiliser cette différence afin d’utiliser cet objet comme signalétique. La variation de hauteur donne un parcours, des informations par rapport à la fonction d’un espace défini de la pièce. Un espace où la hauteur de l’objet serait très faible imposerait aux occupants du lieu une position assise, donc peut être un espace d’échange. Un espace plus haut au contraire pourrait définir un espace de passage, telle une arche. Cet objet s’inspirerait donc du lustre en lui ajoutant une dimension scénographique et un matériau inhabituel pour cette typologie d’objet.

Une seconde question posée fut de l’ordre de la génération de la forme. Dans notre scénario, une société propose le service complet de génération de la forme par le client, de production et d’installation de l’objet produit. Pour la génération de la forme, nous aimerions clarifier le déroulement du processus. Un architecte d’intérieur, sachant se servir de kinect se rendrait sur le lieu en question (restaurant, espace de rencontres dans un musée, espace d’échange comme un leiu collaboratif) avec le client. Dès lors, le client définirait dans l’espace les variations de hauteur selon la fonction des espaces de fonction différentes avec l’aide de l’architecte d’intérieur, qui le conseillerait dans l’aménagement du lieu, et qui le limiterait dans les possibilités physiques de la structure.

Enfin, la problématique de l’assemblage, présente depuis le début du projet demande vraiment à être réglée. Nous étions partis sur une languette intérieure plan. Les fentes seraient automatiquement calculées sur grasshopper. Cependant, cette solution pose énormément de problèmes car nous rencontrons toujours la difficulté de l’automatisation inconditionnelle quand nous essayons de récupérer ces fentes sur grasshopper. Il serait donc peut être bon de poser la question de l’assemblage différemment afin de parvenir à une solution réalisable au sein de l’ensci dans le délai limité qui nous est imposé.

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long timeTag = 0; // variable pour mémoriser le temps à un instant donné

int patte = 13; // numéro de patte sur la carte

void setup() {

pinMode(patte, OUTPUT); // prepare la patte pour output, je suis l’actionneur
Serial.begin(9600); // port série déclaration

}

void loop() {

int photoresistance= analogRead(A1); // je lis la valeur depuis le capteur

//Serial.println(photoresistance); /// valeurs sont entre 10 – 1012

//int pulsation = map(photoresistance, 10,1012, 0,1000); // je transforme la valeur entre

// Serial.println(pulsation);

if (millis() > timeTag+photoresistance) { // millis le temps actuel à partir de lancement de l’électronique, time + photoresistance la valeur dans le futur qu’on veut depasser

digitalWrite(patte, HIGH); // j’allume la del
delay(50); // attente de 50milisec
timeTag = millis(); // quel heure est t-il? je stocke la valeur dans timeTag
}
else {
digitalWrite(patte, LOW);
}

}

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Unigraphie 

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Plic ploc est un dispositif interactif réalisé dans le cadre de l’atelier FABLAB de l’ENSCI en juin 2012.
Réalisé en 1 mois il est composé de plus de 1800 lattes de bois animées par 18 moteurs réagissants à la présence d’un visiteur.
Plic Ploc n’a pas d’autre fonction que d’être étrange, il étonne mais reste compréhensible car il fait appel à un imaginaire commun: la cabane, le tipi, ou encore la ruche. Animé par moments de soubresauts il vit comme une bestiole que l’on vient déranger. Sa réaction est la plus forte lorsque l’on vient chatouiller un endroit précis de son « anatomie ». Le corps du visiteur est complètement engagé dans l’interaction et de l’extérieur la structure devient costume car réagissant aux postures du porteur.

réalisé par Chul Jun Sung et Jean-Simon Roch

réalisé par Chul Jun Sung et Jean-Simon Roch

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3D printers for domestic use are becoming more accessible to the large public. Fablabs, the RepRap project and numerous small companies working in this field have brought 3D printing to the reach of millions worldwide, slowly building this technology’s potential as an alternative to the industrial manufacture of object and products.
Alongside this trend, Microsoft’s release of the Kinect in 2010 brought a new toolset to human-computer interface, using 3D scanning technology to recognize human gestures and movement. Those capabilities are expanded even more by the fact that the Kinect can be easily connected to control and interact with endless applications, from art installations to physiotherapy.
Wanting to combine 3D printing with the sensor’s capabilities I started by approaching the difference in scale of those two technologies. The Kinect allows to capture environments, people, gestures while a 3D printer can create an object no bigger then you can hold in one hand. To bridge this gap I decided to work on a system that is driven by the custom and personal nature of printed parts but used to create objects at a bigger scale. I chose to explore this territory with a shelves, as they are constructual in nature and tend to need specific tailoring to a certain space.
Modulus is a system that allows the user to create shelves in a virtual setting, the users “shows” the Kinect the placement and size of the shelves he wants while watching a preview of the object on a TV/computer screen. The system then generates the construction needed to support these shelves, while giving the user some options to edit the overall appearance of the structure. The final product is a personalized and unique shelf system fit to the user’s needs and space.
The construction system is based on three components: 22mm aluminum tubes, 15mm plywood and custom 3D printed ABS joints. The plastic joints connect the tubes, cut to specific lengths, and hold the plywood shelves with screws. If the user has access to a 3D printer and basic workshop tools he can self-fabricate the shelves. if not, he can order it to be made by a company or a local Fablab, and receive all the components flat packed for easy assembly requiring only a screwdriver.

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Specimen invite chacun à improviser un siège personnalisé à partir des moyens à disposition dans son habitat. Par l’accumulation et l’empilement de ses éléments de mobiliers, coussins, textiles, ou autre, l’utilisateur met au point simplement une surface d’assise aux proportions
et aux positions qu’il désire lui conférer.
De cette surface scannée par Kinect sera généré un fauteuil reposant sur une partie de ce scan, fabricable par des procédés manuels simples ou à assistance numérique, tel que la découpe laser.
Ainsi, la chaîne allant de la conception formelle de l’assise à sa production est rendue
accessible et maîtrisable par chaque utilisateur.

http://vimeo.com/36598753

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Bienvenue au Fab Lab,

Quelques breves explications pour bien commencer.

Dimension Fab Lab:

Un laboratoire, un terrain d’essai, un experimentation creative, un partage productif c’est dans ce contexte que s’inscrit « matiere choregraphique »

La visée du projet:

Le projet « matière choregraphique » vous offre la possibilité d’apprehender la conception par ordinateur en utilisant votre corps et tout ce qu’il a de spontané.
C’est dans un contexte ludique que vous pourrez mettre en forme des objets qui vous correspondent. Votre geste, acteur principal, ramene de la sensibilité ou de
la poesie a l’objet. Au dela de la dimension chorégraphique ce projet se positionne comme un artisanat 2.0, la poterie des temps modernes. C’est un accerleré du
processus industriel ou l’utilisateur controle tout, de la forme a la finition en passant par le sens.

Venons en au fait:

L’objet est un contenant en strates visant à recevoir d’autres objets (petit « bestof » de la vie quotidienne, ou de l’alimentaire, pain, fruits).
Tout detournement ou reapropriation est le bienvenue. Nous proposons de mettre en forme vos structures. Libre a vous d’en faire ce que vous voulez. Par exemple, nous avons
recement commencé à produire du luminaire en utilisant les mêmes structures.

Comment ca marche ?

Concretement il vous suffit de vous rendre au FabLab de l’Ensci (ou dans tous autres endroit se joignant au projet). Vous pouvez commencer votre projet de differents angles,
une envie de couleur, de forme ou d’utilisation?. Un technicien vous guidera pour suivre les differentes etapes de la production afin que votre objet soit a la hauteur de vos envies.
Les panneaux sont decoupés au laser, et laissé tel quel pour faciliter le transport. Nous vous proposons de faire l’assemblage chez vous.

Un petit mot pour la fin:

C’est dans un soucis de fluidité et de simplicité que s’inscrit notrer projet. La technologie, comme un outil et comme non un contrainte, pour servir vos geste et vos envies.

 

This is the video of an Ensci’s project with Microsoft. We use Kinect to produce objects.
Arnaud Wink-PaulCouderc

 

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