Echantillons de différents mélanges de pâte à papier. (Colle à bois, à papier peint, amidon de riz, huile de lin, teinture Dylon, colorant epoxy…)
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Prochains objectifs :
– travailler la forme de l’objet (et donc du moule) pour une optimisation de la qualité sonore et de l’incrustation des différents composants (enceintes, circuit, composants; capteurs…)
– développer un toucher « caresse » de l’objet, notamment pour les parties « usages » de l’objet (emplacement de capteurs pour variations du volume, des fréquences…)
Comment l’objet peut-il avoir une forme cohérente vis à vis de sa fonction, intuitive pour les usages qu’il propose (baisser/monter le son, changer de fréquence, éteindre, allumer…) et accessible (ne pas oublier que l’objet doit être pensé pour que tout le monde puisse le fabriquer.)
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Ce projet de Mischer et Traxler Peut paraître assez simpliste à première vue, mais il est intéressant de voir comment ils ont pu exploiter certaines contraintes de leur technologie pour en tirer une esthétique particulière :
pas d’arrêt ni de reprise du glaçage (donc ligne continu dans le dessin), variation constante entre la rotation du gâteau et la tête de glaçage.
Ce n’est donc qu’un système mécanique (aucune programmation) et la variabilité est juste crée par le temps d’action :
