Maquettes pour les expériences n°5.
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Expérience n°5 ( Dans un environnement sombre : 25- 30 LUX ).
Matériaux : Polypropylène translucide / Chromolux / Aluminium
Référence : FL Transluc. CANSON 50×70 455g / Chromolux Color 50×65 250g
Magasin : Rougier Plé 3ème Paris. / / Francprix
Ici nous avons patronné puis mis en volume du Chromolux noir avec un revêtement blanc à l’intérieur. L’idée c’est sur cette maquette de jouer sur les ouvertures faites sur les arrêtes pour » façonner » la zone d’éclairage.
Dans un second temps nous avons essayé la réflexion de la lumière sur d’autres matériaux tel que l’aluminium. Nous avons donc réalisé une maquette en demi cercle dans lesquels nous avons mis de l’aluminium. L’idée c’est de reproduire le principe de » parabole lumineuse « .
Constat :
– Le Chromolux est très facile à couper et à plier. La maquette est très légère.
– Le revêtement blanc à l’intérieur de la maquette noire permet de refléter la lumière.
– Les paraboles lumineuses ne fonctionnent pas vraiment…
Et ensuite ?
– Maquettes plus précise de paraboles lumineuses avec un bon revêtement réfléchissant.
Objectif :
Nous avons pu voir d’après nos expérimentations, que nous arrivons facilement à générer des ombres mais beaucoup moins à diriger la lumière. Nous avons donc pu déterminer une deuxième piste de réflexion qui nous semble aussi être intéressante :
– Générer / projecter des ombres via une source lumineuse.
Nous avons quand même la conviction que nous pouvons arriver à diriger la lumière dans différentes direction et à partir d’un même point lumineux. Cependant compte tenu du temps impartit, nous nous laissons 10 jours pour réussir à avoir une maquette permettant de diriger ( même un peu ) la lumière afin de de confirmer la piste. Dans le cas échéant nous nous pencherons sur la deuxième piste où pour le coup, nous sommes sur de la faisabilité des choses.
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Expérience n°4 ( Dans un environnement sombre ).
Matériau : Polypropylène translucide
Référence : FL Transluc. CANSON 50×70 455G
Magasin : Rougier Plé 3ème Paris.
Ici nous avons patronné une maquette d’abats-jour à facette pour vérifier nos intuitions et si la lumière se dirige / façonne comme nous le souhaitions.
Constat :
– Le matériau est très facile à couper et à plier. La maquette est très légère.
– On distingue mal l’influence des facettes sur la diffusion de la lumière.
– Plus une facette est loin de la source plus son ombre projetée est distincte et inversement.
– Le matériau translucide en lui même ne suffit pas à façonner la lumière.
– Il faut des facettes complètement opaque.
– Il faut une gamme de facettes variées entre opaques et transparentes.
Hypothèse :
– Doit-on réfléchir la lumière à l’intérieur de la maquette pour augmenter l’intensité en sortie comme dans l’exp. n°3 avec l’alu ?
– La taille des orifices jouent-elles un rôle sur l’intensité de la diffusion ?
Et ensuite ?
– Essai avec d’autres matériaux mais avec la même forme et taille ( même patronage )
– Faire des essais avec un matériau complètement opaque mais avec des puits de lumière.
– On choisira la maquette et donc son matériau associé plus intéressant pour en changer la taille ( réduction ou agrandissement ).
– Maquette avec des arretes ouvertes mais dont les facettes sont opaques.
– Maquette avec des fentes dans les facettes.
Expérience n°2 ( Dans un environnement à 0 LUX ).
Essais avec un matériau plus malléable ( Papier d’aluminium ).
L’idée c’est d’essayer de diriger la lumière, de la canaliser.
Constat : On peut remarquer que dans les premières photos ça fonctionne assez. On arrive à générer deux ambiances distincts.
Cependant dans les dernières la lumière semble plus diffuse et l’ambiance est moins perceptible.
Hypothèse : Le type d’orifice pour laisser passer la lumière joue t-elle un rôle ? Le fait que le papier d’aluminium soit réfléchissant joue t-il un rôle sur l’intensité/ concentration de la lumière en sortie d’orifice ?
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Expérience n°1 ( Dans un environnement à 0 LUX ).
Essais avec plusieurs matériaux que l’on peut trouver chez soi. Nous avons voulu voir comment réagissaient ces matériaux devant une source lumineuse et voir ce qu’elles pouvaient projeter sur un mur.
Il s’agit d’un premier jet qui visait pour nous à être regardé pour mieux nous fixer de nouveaux objectifs sur ce que l’on souhaitait obtenir.
Constat : Un matériau opaque génèrera des ombres. Il y’a une distance à avoir entre l’ampoule et le matériau pour projeter une ombre +/- net sur le mur.
Hypothèse : Un traitement de surface comme sur les protèges CD peut-il générer des ombres ?
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