Concept-Abribus | Observation 2 : Rencontres sur le terrain | 21.03.12

Bastille, le 21 Mars. L’inauguration du projet nous permet de rencontrer et parler avec des personnes qui ont participé au développement de l’Abribus. On a l’opportunité de noter leur point de vue sur le projet et les premiers retours sur l’utilisation par les citoyens.
Pendant notre observation on a rencontré et parlé avec Christelle Kaczmarek, une des responsables de la communication de Derichebourg, venue pour tester une nouvelle application de recherche d’emploi à proximité, sur les écrans tactiles, qui s’appelle « Mapping Job« , en partenariat avec JCDecaux. Elle nous a dit qu’ils sont contents des retours qu’ils ont reçu sur la participation de gens, et que l’application fonctionne très bien jusqu’ ici.

  1. Ensuite, on a suivi la présentation et l’inauguration de l’Abribus par la mairie de Paris, comme un exemple de mobilier urbain intelligent, dans le but de récupérer l’espace public de la ville de Paris.
  2. À la fin de notre observation, on a discuté aussi avec Nathalie Doury, directrice générale de SAEML Parisienne de Photographie, sur le choix de photos anciennes qui apparaissent sur les deux écrans à l’intérieur de l’Abribus. Elle est aussi contente du résultat de la projection photographique, et du concept de l’Abribus, qu’elle trouve simple.
Ce contenu a été publié dans 01_OBSERVATIONS DE TERRAIN, Concept-Abribus (75004) par Chrysanthi Kastani. Mettez-le en favori avec son permalien.

A propos Chrysanthi Kastani

Architecte diplômée en Grèce à l’Université de Patras, 26 Ans. Dans le cadre du Mastère Création et Technologie Contemporaine à l’ENSCI, je participe au cours "Anthropologie et design". Nous sommes perdus dans le tissu urbain, parmi les points de repère, les réseaux de transports, la mobilité et les symboles (bâtiments, enseignes, publicité..) de la ville, à une échelle qui change constamment. En cherchant et observant des objets particuliers, des lieux urbains stratégiques, nous pouvons remarquer les comportements et le flux des usagers et alors créer une nouvelle cartographie pour la ville, plus anthropocentrique.

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