par Jacques François Marchandise et Fabien Eychenne
la fing, un think tank – site
www.internetactu.net – site
lift conférences – site
les carrefours de possibles – site
la 27ème région – site
relier des gens ensemble,
trouver des ruses et des stratagèmes pour trouver des façons d’avancer
la révolution numérique,
on est tellement avec le numérique dans un champ soit positif ou négatif… il est bien de parler dans ce sujet là en laissant aplatir le soufflé
il est bien de se défragmenter le cerveau
Une école de design s’intéresse au numérique,
le design numérique est en soit un champs, sur les objets numériques fussent ils en ligne..
pour rendre les environnement numériques habitables e, en résoudre la complexité, avec des choses foisonnantes … il y a besoin de designers dans le numérique
on a beaucoup parlé du numérique comme de l’immatériel et en ligne … dans le monde d’aujourd’hui le numérique est dans la rue, et il n’y a pas d’étanchéité entre le design et les questions numériques
le design et l’open source
éventuellement dans les tensions auxquelles le design est confronté aujourd’hui il y a aussi des tensions de modèles, et se trouve confronter à des modèles radicalement différents open source versus modèle, copyright…
le design et le service,
basculement de toute l’économie mondiale vers les services
tout un ensemble d’objets aujourd’hui ne fonctionne que si il y a un ensemble de services
progressivement une école comme l’Ensci s’est trouvé à se définir comme une école d’innovations, et d’associer le design et l’innovation. rencontre une certain résistance auprès des éleves avec l’injonction à innover
cf. mémoire «endologie de l’Innovation »
le terme d’innovation, dans le droit, dans le social, en pédagogie et les formes d »innovations liées aux technologies ne présentent qu’une partie.
sur le thème de révolution
une bonne partie de ce qui se constate est de changements ordinaires.
ex. la boîte aux lettres, petit changement mais c’est la même chose
idem pour se déplacer
il y a pas eu de grands sauts, on y est passé petits à petits, avec parfois de l’étonnement et parfois des sauts plus grands.
ex. l’iphone, c’est un tramps qui semble court, mais c’est n temps très très long, du minitel, aux bornes sncf, .. cela cristallise à un moment donné mais c’est très long.
il y a une ligne de temps, la temporalité articulée (cf. Musso)
la tension à l’ordinaire et aux petites choses qui changent elles se retrouvent dans beaucoup de champs
révolution c’est très affirmatif,
épiphanie numérique, une espèce de récit merveilleux, … comme un horizon magique. c’est devenu la proposition d’avenir qui se substitue à d’autres propositions que l’on n’est plus capables de faire.
ex; e-administration c’est l’avenir de l’administration, e-commerce c’est l’avenir du commerce
et il est un peu dérangeant de penser que toute modernité est numérique
Il y a lieu de questionner l’exclusivité . par exemple, la globalisation la mondialisation sont probablement des facteurs plus importants, …même si ils ont été possibles par le numérique.
et si on parlait des questions numériques en terme de civilisation, comment cela fait société, comment cela fait civilisation. ou l’inverse avec la décomposition du lien, l’idée de jungle, etc …
c’est intéressant de parler de civilisation numérique mais il ne faut pas oublier de parler de civilisation pré numérique. On est à un moment où on connaît tous les monde d’avant.
on est à un moment qui sur un plan ethnographique, où nous sommes des témoignages de numériques / prénumériques. On est toujours le pré numérique de quelqu’un .
Donc révolution, … hummm… on peut en discuter.
Comment la machine à écrire a été un passage homme femme.
nous avons souvent des énoncés d’impact des technologies sur la société… mais les technologies sont produites par nous donc raisonner en terme d’impact est
révolution numérique .. c’est peut être plus questionnant
Le numérique ne veut pas forcément dire en réseau
il ne veut pas forcément dire multimédia
à l’intérieur du numérique , les champs de l’internet et du mobile sont fondamentalement différents.
Une dizaine de mots clés :
Outil / Média / Vite / Collaboration / Digital natives / Gratuit / Optimisation / Fracture / Immatériel
tout un ensemble d’évidences dans lesquels on se promène. de notre côté à la fing, le versant du numérique a été celui de l’internet
dans ce paysage internet parfois se promène des idées un peu communes…
par exemple on dit souvent que Internet est un média alors que internet véhicule une famille de médias et c’est aussi beaucoup d’autres choses.
par exemple on dit souvent l’internet c’est un outil … non c’est un arsenal extrêmement riche d’outils … et il y a aussi du terrains et n’est ce pas ce que l’on appelle du réseau sociaux techniques.
par exemple, on dit cela va fonctionné mieux, c’est optimisé… alors que cela fonctionne mieux et moins bien à la fois. des difficultés nouvelles qui se déplacent
par exemple, les digital natives, oui il sont beaucoup plus à l’aise mais dés qu’il s’agit d regarder de plus près si c’est une expérience heureuse ou pas, il apparaît que les choses peuvent être difficile, e.x la connaissance des outils, la manière de chercher, etc … comment cela peut le servir au mieux.
par exemple , le gratuit, c’est à la fois une menace et une richesse … mis ce qui se passe du côté du gratuit ne vient pas forcément que de l’internet, ex. les journaux gratuits.
le gratuit aujourd’hui c’est un peu un sandwich, le gratuit du haut, le payant, le gratuit du bas
le gratuit du haut, le gratuit commercial
le gratuit du bas, le gratuit du don contre don
Par exemple, la fracture numérique. si il y a des fractures, ce sont les fractures de la société et de l’économie, nos lignes de fractures, nos lignes de différences.
Une bonne partie de ces fractures sont aussi des fractures à la langue et à l’illétrisme.
Il y aussi la relation à l’abstraction, ex. la carte bancaire. dans la relation à l’abstraction, il y aussi une diversité de relation au tangible.