E-Formation

Un économie en mouvement, un besoin d’adaptation, de renouvellement des connaissances. La E-formation se présente comme une bonne solution. Nous distinguons ici le cas des universités virtuelles et celui des « campus » d’entreprises. E-FORMATION

La connaissance s’est transmise sur différents supports plus ou moins efficaces. Longtemps réduite au livres, elle s’est numérisée, se donnant un caractère nomade et intemporel.
Or ces dernières années s’est développé l’e-formation, ou apprentissage à distance grâce à ce nouveau type de supports. Cela pose de nouvelles questions d’éthique, de financement, de qualité des formations… Une véritable économie s’est mise en place. Or l’apprentissage est une chasse gardée, un terrain dangereux, qui selon la façon dont il est organisé peut avoir des résultats bénéfiques autant que désastreux.
Les deux domaines principaux sont aujourd’hui les universités virtuelles et les campus d’entreprise. Bien qu’ils aient beaucoup de point communs, nous les aborderons distinctement afin de mieux comprendre à quels besoins ils répondent.

PARTIE I
E-FORMATION: LES UNIVERSITES

A)les raisons de l’apprentissage virtuel

B)l’Open University

C)MBA Virtuel

PARTIE II
E-FORMATION: LES ENTREPRISES APPRENANTES

1)Fomation réinvetée: le marché et ses acteurs

a)américains en tête de course

b)l’Europe, la France

c)les points importants d’une stratégie de e-formation.

d)principaux entrants de ce marché

2)Une entreprise qui change

a)de nouvelles frontières

b)avantage deu web based training

PARTIE 1

E-FORMATION : LES UNIVERSITES

Qui sont les étudiants ? Que veulent-ils ? Que leur offre-t-on ?
D’un aspect encore assez scolaire, ces formations sont très attractives : elles délivrent des diplômes prestigieux à leurs étudiants à distance . Bien que tout à fait louable, ces formations ont des limites, souvent relationnelles plus que techniques. Ainsi, elles ne sont pas adaptées à tous les cas.

A) Les raisons de l’apprentissage virtuel

Le livre, les cassettes audios ou vidéos ne sont plus l’unique moyen de travailler à distance . Les ventes de ces deux dernières ont d’ailleurs considérablement chutées au cours de ces dernières années. L’impacte du numérique sur ces deux supports est ravageur : il s’agit de conserver les contenus en s’affranchissant des supports physiques et des équipements qui permettent de les consulter .
Dans ce nouveau monde, tout est permis, surtout d’apprendre ou de travailler à distance, car telle est la vraie valeur ajoutée du web.

L’un des précurseurs du travail à distance en France est le CNED. Permettant déjà à des étudiant de passer de suivre des cours sur polycopiés, faire des examens… Les résultats du CNED sont satisfaisant à en lire les sondages sur leur site www.cned.fr. Cet organisme s’adresse très principalement aux étudiants de lycée ou collège .
C’est un peu la façon dont on vous présentait l’apprentissage « avant ».

Mais aujourd’hui, de plus en plus d’individus sont demandeurs en RE-formation, c’est à dire, non pas en sortie de bac ou de BEPC, mais après 20 ans d’expérience professionnelle . Ces personnes soit n’ont pas eu le temps de s’adapter, soit veulent améliorer leur potentiel, soit souhaitent se réorienter, changer de carrière .

Aux Etats-Unis, la plupart de universités ont une jumelle en ligne. On peut accéder à tout type d’information, les cours des professeurs sont disponibles… Idéalement, on pourrait penser que l’on peut aller à Harvard sans y mettre les pieds. Les réalité est différente. Le limites de débits et d’investissement font qu’Harvard reste une université palpable.

B) Exemple : l’Open University

Prise fréquement comme exemple dans ce cadre précis d’apprentissage, l’Open University (www.open.ac.uk ) n’est autre que la plus grosse université anglaise avec à son bord plus de 200 000 étudiants. Elle aussi a démarrée comme le CNED par correspondance. Elle met en avant l’assistance des étudiants et la personnalisation de la formation pour chaque étudiant.
L’Open University gagne de plus en plus d’étudiant de profiles très différents, cherchant à changer de voie, se reformer. Ils font du conseil en orientation afin de permettre à leurs étudiants de rebondir.
Ils permettent différents types d’interactions avec le professeur (tchat, mail, mailing list), avec des bibliothèques, de professionnels de certains domaines (qui parfois peuvent devenir de futurs employeurs) … mais surtout (ce qui bien souvent est absent des programmes français) ils encouragent le travail en équipe, à distance, préparant leurs étudiants au Télétravail, à faire avancer des projets sans avoir de réels contacts avec des partenaires.

C) Un MBA Virtuel

Les diplômes : ils sont une référence pour les employeurs, et parfois une question d’honneurs pour les étudiants .
Le plus en vogue en ce moment est le Master of Business Administration. Standard de Hautes Etudes aux Etats Unis, il prend une ampleur considérable dans la tête des employeurs français qui y voient une preuve de capacité de managment, de prise de décisions rapides et efficace.
Ainsi, tout comme le master s’est développé dans les Ecoles, il s’est développé sur le web. De nombreuses universités sont officiellement disposées à vous délivrer ce diplôme.
Sur le site officiel, MBA.com, on trouve un certain nombre de données concernant les intérêts et inconvénients de l’apprentissage sur le web :
Selon eux, les nouvelles technologies ouvrent des portes aux professeurs comme aux étudiants : les universités peuvent utiliser des ressources qui résident ailleurs, à l’autre bout du monde . La vidéo-conférence, l’ e-mail, ou autre outils interactif sont autant de méthodes utilisées différemment selon les établissements, d’où la nécessité de bien analyser ses propres besoins, ses capacités d’apprentissage, ses qualités visuelles ou d’écoutes pour trouver l’université la mieux adaptée .

Avantages:
L’apprentissage à distance entraîne une rupture dans la vie professionnelle. C’est une excellente opportunité pour relancer une carrière ou l’améliorer si l’on a un besoin spécifique ( maintenir des licences professionnelles, remettre à jour un diplôme…).
Tout d’abord, cela requiert moins de temps que les autres types de formation.
Il y a plus de flexibilité géographique.
On est exposé à des étudiants plus divers, amené à travailler avec des équipes plus disparates.
Le travail scolaire peut être organisé autour du temps personnel et professionnel, ce qui s’avère une grande qualité pour des diplômes tels que le MBA qui gagnent à être à temps partiel. Mais ce peut être un réel désavantage pour des étudiant que en temps normal tireraient profit de plus de structure.

D) Les limites :

L’apprentissage à distance n’est clairement pas fait pour tout le monde , parce que cela offre un contacte vraiment limité avec les autres étudiants ou la faculté. D’autre part, les opportunités de rencontres sont réduites, ce qui, pour de individus souhaitant changer de carrière limite les reconversions de bouches à oreilles.
Les conventionnels services de placement des étudiants dans des entreprises après des masters sont très limités quand ils ne sont pas inexistants.
Peut de cours à distance sont finalement disponibles parce que les technologies et les formes d’apprentissage sont nouvelles.
Enfin, les aides financières du gouvernement accordées aux étudiants pour ce type d’études sont encore peut claires et peut fréquentes .

Les éléments décrits par le site mba.com sont finalement des élément que l’on peut attacher à n’importe quel type d’apprentissage à distance. Il s’agit de bien savoir ce que l’on en attend et d’avoir un personnalité adaptée à l’apprentissage « solo » .

Nous avons vu ici un panel de type de formations qui comportent avantage et inconvénients. La vraie frustration est de ne pas sentir la moindre modification dans le type de contenu. La plupart de temps, ce sont des numérisations de livres, textes de professeurs, mais finalement très rarement des animations, des jeux d’expérimentation.
On se sent comme au temps de Gutemberg. Il a fallu des centaines d’années avant qu’apparaisse le premier livre intelligent d’apprentissage. Aujourd’hui le problème semble être le même. Il ne s’agit pas seulement de problèmes de débits (qui sont bien évidemment un frein) mais également d’un manque de conviction. Conviction qu’un apprentissage, un transmission de savoir bien traitée peut réellement générer de très bon résultats.
Les CD-roms de langue ont connus un explosion considérable d’abord parce que les investissement étaient élevés, et ensuite parce qu’il offraient un interactivité instantanée.

PARTIE 2 :

E-FORMATION : LES ENTREPRISE

De plus en plus d’entreprise développent la e-formation. Elles veulent former elles même leur employés. Cela fait curieusement penser au cités vertes autour de gros sites industriels du siècle dernier. Serait-ce un nouvelle façon de s’accaparer ses employés ? C’est la question que pose Jacques Perriault, professeur de sciences de l’information et de la communication à l’université Paris-X, « L’éclatement de la bulle Internet, les nombreux échecs dans la mise en place d’expériences de « e-learning », ont renforcé les rangs de ceux qui n’ont vu dans la « digitalisation des savoirs » qu’une utopie sans lendemains. A cette aune, la crise actuelle m’apparaît, que comme une tentative malheureuse du capitalisme pour s’emparer de la sphère du savoir. »
D’une autre façon, on peut y voir une volonté de la part des employeurs d’avoir de salariés polyvalents capables de prendre des décisions en fonction d’indicateurs plus nombreux, leur permettant aussi sans doute de se sentir plus impliqués dans l’avancée des projets.
Ces entreprises de plusieurs dizaines de milliers d’employés cherchent des moyens de formation masse les moins coûteux possibles. Sans compter que pour des entreprise qui cherchent à réduire de plus en plus leur frais et qui veulent multiplier les cas de télétravail, cette solution est des plus idéales.

1) FORMATION REINVENTEE : LE MARCHE ET SES ACTEURS

A) Les américains en tête de course

Depuis toujours, le marché de la formation aux Etats-Unis fait preuve d’un dynamisme important mais récemment, toutes les intentions se sont focalisées sur les technologies de l’internet, considérée comme une source d’économie et d’efficacité. Les expérience de Web Based Training, de classes virtuelles se multiplient, que cela soit dans le cadre de l’enseignement supérieur ou dans celui de l’entreprise. Les logiciels et les contenus de ces formations émergent de toutes part.

De nouveaux acteurs, comme les chaînes de télévision, les maisons d’éditions, les constructeurs informatiques, les acteurs de télécommunications…s’y intéresse et leur participation risque de redistribuer rapidement les cartes du marché de la formation, qu’elle soit professionnelle, universitaire ou grand public. Le Gartner Group prévoit que si 25% de la formation est aujourd’hui diffusé grâce à la technologie, et 75% grâce à la formation en salle , les parts de chacun devraient être égales prochainement. Ceci, car ce marché est en croissance malgré les évènement de 2001.

B) L’Europe, la France

Equipements, décollage du Web et du e-commerce, passage aux 35 heures, marché de la formation structurée et dynamique, compétence multimédias, tous les facteurs de succès sont réunis pour assurer le décollage de la e-formation en France.

Encore en retard sur le plan purement technologique, la France à cependant une carte importante à jouer sur le plan des programmes et des contenus où son expertise est internationalement reconnue. Le réveil des acteurs traditionnels devrait accélérer le mouvement, d’autant que de nouveaux entrant frappent à la porte de ce nouveau marché.

En observant les essais et erreurs commises outre Atlantique, les français ont économisé de l’énergie, proposant des base de données de qualité.

C) Les points important d’une stratégie de e-formation

Avant tout, compte tenu des investissement lourds que représentent les programmes et infrastructures d’e-fomation, les partenariats semblent être la clé des ressources financières que cela nécessite. IBM vient de renouveler son accord avec les ministère de l’éducation nationale (France) : mise à disposition gratuite d’équipement informatique et de logiciels, et aide à la réalisation de projets.
Ces partenariats permettent pour les entreprises qui se penche sur le sujet :
De ne pas se dispercer en dehors de son corp de métier ;
De mutualiser les investissements ;
De conduire des projest d’envergure.

Un autre point clé est de considérer la e-formation comme un produit avec son mode de production et de diffusion. Or sa production, son développement est de loin la partie la plus coûteuse de sa mise en place. Il faut donc très clairement considérer ce process comme une industrialisation des ressources multimédias si l’on veut s’y retrouver financièrement. Peut-être est-ce là une place que pourraient occuper des designers…
Pour cela, il faut créer des sources diverses (photos, textes, vidéos, son…), et se servir de supports multiples (PDA, ordinateurs, téléphones mobiles, console de jeux, DVD portable, E-book…).
Une ressource multimédia, si elle est bien concue ne doit pas dépendante du support pour bien fonctionner et jouer parfaitement son rôle pédagogique. Cela permet de procéder à une « extrusion » de la connaissance qui se découpe à l’infini.
Toujours dans ce soucis de rentabilité, ces ressources sont pensées pour un public aussi large que possible, avec ses outils de personnalisation. Le niveau doit également pourvoir être variable d’une personne à une autre. De même, son élaboration dans différente langue est une clé de son succès.

D) Les principaux entrants de ce marché

Les SSII : elles accompagnent leur clients dans la mise en place de nouvelles technologies. Elles sont donc bien placées pour déployer avec succès de nouveaux instruments liés à la connaissance.
Les éditeurs de logiciels : déjà bien installés dans les entreprises, il en profitent pour faire de nouvelles offres.
Groupe de presse et d’édition : ils considèrent que cela fait parti de leur métier.
Sociétés d’intérim : elles doivent fournir la bonne compétence au bon moment, pour cela, elles proposent de nouveaux services permettant l’adéquation entre le profil recherché et le profil proposé.
Opérateurs télécom : réseau, téléphones mobiles, haut débit, ils sont au cœur. France Télécom avec Wanadoo Education et France Télécom Education est désormais acteur du marché.
Cabinets de conseil et intégrateurs : il n’y a qu’un pas du conseil à la formation et les cabinets ne s’en privent pas.
Editeurs Multimédias : acteurs depuis un dizaine d’année, ils franchissent le pas en mettant leur données sur internet.
Distributeurs : ils s’interrogent sur ce marché sous un angle « grand publique ». La Fnac propose déjà des formations pour les clients qui veulent se familiariser avec les ordinateurs qu’elle vend.
Chaînes de télévisions : d’une manière plus large, on peut dire que des émissions comme E=M6 sont le reflet d’une demande et ont une efficacité percutante. Arte a mis en place deux sites, BPS qui met des documents vidéos à disposition des écoles et Coté Prof qui proposent aux documentalistes ou professeurs des documents audiovisuels. Malheureusement, ces sites avant-gardistes n’ont pas eu le succès escompté. Les start up : pour certain, la e-formation constitue un nouvel Eldorado.
Les Géants : Microsoft, Oracle, Amazon, Sun Microsystem. Ils sont déjà au cœur des contenus et sont au contact des utilisateurs finaux.

E) Un outil marketing :

Lors de la vente d’un logiciel, la loi française exige une documentation. De plus en plus, on voit cette documentation disponible en ligne. Les clients peuvent être formés à distance. C’est le cas pour Schneider Electrique qui forme ainsi tous ses clients dans le monde ou remet à jours leur connaissance. Ainsi, le design de la connaissance est partie intégrante du design de l’objet.
Wanadoo a par exemple accompagné ses ventes d’abonnement d’un service d’initiation aux techniques de l’internet. Il est nommé NetExpress.
Il en est de même pour les sites de courtage « e-brokers », qui, en développant des cours sur le web, font concurrence au organisme de formation professionnels.

2) UNE ENTREPRISE QUI CHANGE

L’introduction de nouvelles technologies ébranle fortement les murs étanches qui séparent parfois certains secteurs ou certaines habitudes de l’entreprise. Les technologies vont changer ce métier en profondeur comme elle ont bouleversé bien d’autre processus et autres fonctions de l’entreprise.

A) De nouvelles frontières :

Il est certain que le modèle pédagogique que nous vivons est en train de changer vers quelque chose de nouveau : la juste formation au bon moment pour chacun, selon son niveau et son mode d’apprentissage préféré. Le Web Based Training (formation à distance via les réseaux internet et intranet) a un rôle prédominant à jouer.
Malheureusement, il y de fortes réticences, pas tellement de la part des clients ou des utilisateurs finaux mais de la part des responsables de formation eux-même qui héritent d’une culture de la formation liée à des supports papiers ou à des relations humaines professeurs étudiants. Pour mettre en place de tels projets, les entreprises en donne maintenant la responsabilité à d’autres corps de métiers.
Un lourd problème est lié à l’investissement : en effet, c’est un investissement largement profitable, mais à long terme. Et la disponibilité de fond pour ce type de développement est faible. Ainsi, pour qu’un projet soit mené à bien, compte tenu de l’ampleur du travail que cela représente, il faut que la responsabilité de sa mise en place soit plus en amont dans l’entreprise.
Cette exigence est évidente compte tenu des fonds investis : chez Renault par exemple, tout projet de e-formation est encouragé si il est prouvé au préalable que le retour sur investissement est effectif en moins d’un an.

En fait, la recherche de rentabilité ne doit pas seulement prendre en compte la formation au sens stricte, mais doit considérer l’entreprise comme structure apprenante, dans laquelle tout est impliqué. La seule analyse économique est sans réelle logique dans ce cas.

B) Avantage du Web Based Training

Depuis un dizaine d’année, les logiciels ou CD-Rom ont trouvé leur place. Ils ont un marché.
Toutefois, les technologies en ligne on éclairé d’un coup le paysage de la formation en lui redonnant une dimension sociale absente des dispositifs non connectés. L’avenir se situe sans doute dans les réseaux intranets ouverts vers l’extérieurs. Ainsi, autonomie et personnalisation se marrient bien avec travail collectif, partage d’idées.

CONCLUSION

L’impact des nouvelles technologies sur la formation est donc profond et durable. Les grandes entreprises mènent une veille technologique intense s’appuyant sur toutes les ressources de l’information et de la communication.
Il est d’abord essentiel de comprendre que le regard que l’on porte sur le métier de la formation doit désormais changer. Ainsi, le leader de la formation professionnelle pour adulte dipsose de 200 000 élèves. Chiffre incroyable, mais ridicule comparé à la taille du marché et de la demande. En France, il y a 14 millions d’actif. Il est difficile de croire que ces derniers n’ont pas besoins de formations, de remise à niveau.
Global English a levé 200 millions de francs (32 millions d’euros) pour développer un site d’apprentissage de l’anglais à distance. Chiffre impressionnant là encore, mais les investisseurs avaient conscience d’un marché d’1 milliard d’individus !
La France ne pourra faire jouer la carte de l’exception culturelle : nos entreprises se mondialisent à grande vitesse, et sous la pression de fusions acquisitions, elles désirerons que leurs effectifs soient formés partout dans le monde en conséquence de cela.

En somme, nous arrivons doucement dans l’ère du « consommateur de savoir ».

Ce contenu a été publié dans Enjeux et usages des TIC (février-juin 2003). Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

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