Au printemps 2010 à Fontaine (38600) deux places de parking ont été mises en Jachère publique près de la place Louis Maisonnat pour une durée de 3 mois. C’est à dire que leur usage n’est plus prédéfini par les habitudes, les autorités mais que l’on peut expérimenter collectivement de nouvelles utilisations de cet espace libéré de la voiture.
Une ambiance club, cosy, lounge ou luxe selon vos attentes, une prestation haut de gamme dans des véhicules entièrement transformés.
Votre prestation BusDiscothèque comprend :
The Cloud Project is a modified ice-cream van that present a series of experiments to make clouds snow ice-cream. Inspired by developments in nanotechnology ad planetary-scale-engineering, it points to new possibilities where we develop the means to conform the global environment to our needs. It was developed as a tool for public engagement, performance and spectacle with the goal to amaze and inspire people to think critically about their relationship to emerging technologies and weather modification. Merging popular culture and science, the van also hosted a series of talks from scientists, artists and designers to offer the people various sometime conflicting views on what the futur may have in store for us. Cathrine Kramer and Zoe Papadopoulo will present the development of the cloud project and give a whistle-stop tour of the places and people they met along the way.
Le premier écran publicitaire « à affichage dynamique » — en fait un énorme écran de télévision — fonctionne depuis quelques semaines à l’angle de l’avenue Rhin-et-Danube et de la rue des Étamines. Les militants d’Europe Écologie Les Verts demandent aux élus d’être « dynamiques » eux aussi pour en empêcher la multiplication dans l’avenir.
Au-delà de la pollution visuelle et psychologique liée à la publicité qui envahit les paysages urbains, ce nouveau dispositif apparaît choquant : « alors que de plus en plus de familles mancelles vivent dans la précarité énergétique, installer un nouvel appareil énergivore est un non-sens« , affirme Catherine GOUHIER.
Rémy BATIOT renchérit avec un autre argument. « Cet écran qui diffuse des images animées est conçu pour attirer l’attention : par sa nature même, il accroît l’insécurité routière. N’est-il pas paradoxal d’accuser le téléphone au volant d’affaiblir la vigilance du conducteur et d’autoriser une télé géante au bord de la rue ? ».
Citant l’exemple de Pau, Alexis BRAUD rappelle que « les municipalités peuvent interdire de tels dispositifs en modifiant le règlement local de publicité« . Il conclut : « La publicité est un des bras armés de lasurconsommation ; il convient de réduire sa place dans la société ».
Europe Écologie Les Verts appelle donc les élus du Mans et de l’agglomération à prendre position CONTRE ce genre de dispositif.
Europe Écologie Les Verts / groupe Le Mans-Agglo, le 29 février 2012
Covoit’Stop c’est :
Les participants à l’opération sont des automobilistes et des piétons qui s’engagent à respecter la charte autostop participatif.
Ils sont identifiables par le Kit autostop plastifié ou par le carnet Orange, que pouvent être retirés dans les lieux relais
Les commerçants du marché bio de Bazouges installent leurs étals et déjà les premiers clients du jeudi après-midi arrivent faire le plein de légumes, de fromages ou de pains. Avec son panier, Amande vient elle aussi faire ses provisions. Avant d’entrer sur le lieu de vente, elle passe devant un panneau, sous lequel est accroché un écriteau photocopié représentant un pouce d’auto-stoppeur et une voiture, encadrés de bleu. « C’est le logo de la Navette citoyenne, explique-t-elle, une expérimentation d’auto-stop participatif.»
Le couplage transport à la demande – covoiturage est inédit, même si, de son côté, le covoiturage dynamique se développe très fortement en Europe. Généralement, chacun de ces services fonctionne de façon autonome ou en co-présence sur certains territoires. Il n’y a pas de complémentarité, ni réellement de concurrence. Leur couplage actif constitue une innovation. Son intérêt réside dans plusieurs aspects.
D’une part, le covoiturage connaît actuellement certaines difficultés à prendre de l’essor dans certaines zones où il est offert à la population, même si le besoin est toujours là. Trop peu encadré, il reste quelque peu aléatoire et ne peut garantir le service, car les réseaux de personnes acceptant de partager leurs véhicules et leur temps de transport fluctuent. D’un autre côté le covoiturage permet de mutualiser les ressources de déplacements, réduire la congestion grâce à un taux de regroupement dans les véhicules toujours supérieur à 2, souvent meilleur que les transports à la demande en milieu rural. Il est par ailleurs extrêmement peu couteux pour les collectivités (sauf si elles prennent en charge les centrales de mise en contact des ressources et usagers).
D’autre part, les transports à la demande, pour ceux qui sont optimisés par un noyau comme le préconise Prorentsoft, visent à réduire les coûts, les distances parcourues, les émissions de polluants atmosphériques et à maximiser le remplissage des véhicules. Cette fonction d’optimisation constitue aujourd’hui une des spécialités reconnues de Prorentsoft. Les gains de coûts, transposés au covoiturage, sont donc encore substantiellement améliorables si l’on prend en compte l’ensemble des demandes de mobilité et les véhicules mis à disposition par les covoitureurs. Cette approche pourra se faire sous forme de proposition (et non obligation) aux covoitureurs, dans la mesure où l’on connaît aussi l’importance des réseaux sociaux dans les choix de partager le temps de transport.
