« By the Bus Stop » vient de l’idée du photographe anglais Richard Hooker, passionné par l’arrêt de bus en tant que lieu de transition et de mélange social. Il a donc immortalisé à travers Londres les passagers de bus entre les années 2001 et 2005
Archives pour la catégorie la ville
Service de La Poste: Cityssimo, une boîte aux lettres en ville
David Belle: « Parkour »
Tokyo’s ‘street sleepers’: Too drunk, too lazy or too tired, sidewalks and steps double as beds for these Tokyo residents by photographer Adrian Storey
Référence de G.Amar: Bryant Park, NYC
« Le meilleur endroit de la mobilité, on m’y a donné rendez-vous pour une séance de travail alors que j’étais en voyage ». G.AMAR
Ma cantine en ville: Réactiver l’espace public. Inventer de nouvelles civilités
Transports amoureux
http://youtu.be/qDyeo4CGivU
La ville souterraine! Métropolis de Frizt Lang
La montre verte de la FING
La montre verte est d’abord un dispositif personnel communicant équipé de deux capteurs environnementaux (ozone, bruit) d’une puce GPS et d’une puce Bluetooth. L’appareil a la forme d’une montre que son porteur emmène avec lui dans la ville, capturant et stockant des mesures qui sont ensuite publiées sur le réseau.
Prévision météo en temps réel à Nantes: l’information collective partagée
François Morellet
“De temps en temps”
Le bâtiment de la Mutuelle Harmonie Atlantique a été construit dans les années 1960 et en possède la force architecturale. Aujourd’hui il devient le support d’une image nouvelle grâce à sa rénovation, signée CANAL Atelier d’architecture (Daniel et Patrick RUBIN), qui habille les 6 000 m2 de la façade d’un filtre de verre et d’acier. Dès la conception, Harmonie Atlantique a envisagé d’y intégrer une oeuvre.
Né en 1926 à Cholet, François Morellet est un artiste qui concilie la rigueur mathématique et géométrique avec le hasard et l’humour. Il refuse notamment d’imposer aux spectateurs les décisions arbitraires de toute création artistique. Ses oeuvres sont donc le fruit d’un hasard maîtrisé et deviennent leurs propres points de référence. Il désacralise ainsi le mythe de l’artiste romantique, génie démiurge.
L’oeuvre est un “indicateur météorologique” qui s’étendra sur toute la façade. Dans un premier temps, elle se développe sur le pignon ouest. François Morellet réalise une oeuvre sans cesse changeante qui évitera la vision lassante d’une proposition artistique immuable. Chaque jour, au travers de trois “habillages” lumineux, la façade laisse apparaître des nuages (arcs blancs), un soleil (cercle rouge) ou la pluie (tirets bleus) qui annoncent le temps qu’il fera quatre heures plus tard !