Bibliothèques ? 2

Wikipédia :

Louise Merzeau : http://fr.wikipedia.org/wiki/Louise_Merzeau

Savoirscom1 : http://fr.wikipedia.org/wiki/Savoirscom1

Documentaliste-Sciences de l’information : revue

ADBS : L’association des professionnels de l’information et de la documentation http://www.adbs.fr/

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merzeau.net : Embeded memories. Patrimonialisation des traces numériques

NetPublic.fr : accompagner l’accès de tous à internet

Olivier Ertzscheid : http://blogs.iutlaroche.univ-nantes.fr/olivier-ertzscheid/page/2/

Le Monde : http://www.lemonde.fr/sujet/8f25/olivier-ertzscheid.html

article : « Les « copy party » autorisées mais dans le cadre d’un usage privé » :

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ENSSIB : Ecole Nationale Supérieure des Sciences de l’Information et des Bibliothèques http://www.enssib.fr/ :

« La copy party en bilbiothèque, c’est permis ! » par Amandine Jacquet, 29 octobre 2013

« Le kopimisme : religion du libre-copier » par Christelle Di Pietro, 12 mars 2012Capture d’écran 2014-12-01 à 13.20.58 1

Church of Kopimism http://kopimistsamfundet.ca/

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579px-Kopimi_k.svgCapture d’écran 2014-12-01 à 13.30.46

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Bibliothèques ?

Dans l’introduction de son ouvrage Culturenum-jeunesse, culture et éducation dans la vague numérique, Hervé Le Crosnier parle de ce numérique qui « possède une magie propre que les humains ont toujours cherché : la construction d’une machine symbolique, capable de traiter les données, les informations, et demain les connaissances, capable d’analyser pour nous les signaux du monde, de la nature et des activités humaines, capable de rationaliser les choix, d’évaluer les trajectoires, d’économiser la planète et d’optimiser le temps que nous devons donner à l’industrie et à l’organisation sociale ».

D’une autre manière, Yves Citton, définit une culture numérique caractérisée par « l’accélération inouïe de la circulation des « informations » à la surface de notre planète ; la capacité de faire circuler ces informations à un coût marginal virtuellement nul ; l’accélération des rythmes de l’innovation à travers tous les niveaux de l’appareil productif ; l’importance croissante des savoirs relationnels dans des économies de plus en plus orientées vers les services aux personnes ; le renversement faisant que les actifs immatériels (savoirs, renommé, image de marque, réseaux) représentent une part plus importante dans la capitalisation boursière des grandes entreprises que leurs actifs matériels (usines, machines) ». p.15, Yves Citton, L’Avenir des humanités- économie de la connaissance ou cultures de l’interprétation ?

Alors, si la culture numérique dans laquelle nous baignons a transformé notre rapport et notre accès à la connaissance ; que deviennent les sources d’informations matérielles ?

Je propose d’observer les relations entretenues entre deux modèles aux ambitions comparables : celui de la bibliothèque et celui du web afin de comprendre comment ces deux entités communiquent, interagissent et s’hybrident grâce à l’avènement d’une culture numérique.

Pour commencer cette recherche, la figure du bibliothécaire servira de point d’entrée.