Sur Strabic.fr on nous a parlé cette semaine des tangible user interfaces, kézako ?
Ces interfaces sont conçues pour être facilement appropriables par l’utilisateur du fait des correspondances qu’elles opèrent entre ce qui se passe à l’écran et ce que l’on fait avec notre corps, et pour des relations d’action-réaction logiques pour n’importe quel être humain. L’objectif : des interfaces naturelles, pouvoir profiter de la richesse et la précision des gestes pour pouvoir entrer dans de nouvelles complexités, et de la rapidité dans les opérations.

Adresse, virtuosité, précision et habileté sont autant de qualités nécessaires à une bonne pratique de composition et interprétation de la musique, dans cette optique, l’article nous propose quelques exemples où les tangible user interfaces renouvellent sans cesse ce domaine.

Par ailleurs tangible provient de tangere qui signifie « palpable » – que l’on peut connaître en touchant. Dans cette acception le tangible rejoint ce qui est inscrit dans la matérialité, ce qui est concret, sensible. (wikipedia)

When we have problems interacting with technologies, it’s a direct result of our not having asked the right questions in the design process. To be effective, we must shift our focus from the techno-centric to the human-centric. (Bill Buxton, research scientis, Toronto, Canada)

J’ai prélevé ce texte dans Massive Change de Bruce Mau and The Institute Without Boundaries dont voici la capture.

Rien de neuf, si ce n’est que d’enrichir les propos de Nicolas Henchoz.