http://youtu.be/g0TOQo_7te4
http://vimeo.com/22606116
Inspiré des jeux d’ombres victoriens, l’installation « Shadow monsters » est une expérience ludique et interactive dans laquelle les participants, en jouant avec leur ombre forment et écrivent en temps réel le récit de créatures nées de leur silhouette.
Philip Worthington nous donne la possibilité de devenir l’ombre de notre propre ombre monstrueuse.
Le matériel Montessorien à la caractéristique de permettre l’auto-éducation, c’est-à-dire par l’éducation par l’erreur.
L’encastrement de solide: L’enfant cherche à encastrer chaque plot dans un trou. Puisqu’il a vu, au debut, que tous les plots peuvent se placer dans les trous, s’il en reste un qui ne rentre pas, ça veut dire qu’il s’est trompé quelque part. Le materiel permet une auto correction. Le principe est « d’aider l’enfant à faire seul »
Dès 6 ans – Un quotidien amusant pour s’habituer à lire un peu chaque jour.
4 pages pour que chaque jour, du lundi au samedi inclus, l’enfant prenne l’habitude de la lecture quotidienne. À partir d’un événement choisi par la rédaction, il apprend de nouvelles notions.
+le supplément jeux du mardi, Je m’amuse, 4 pages de rébus, quiz, charades, mots en grille, dessins mystères… Pour s’amuser !
Ici est le lieu d’une réflexion autour de la presse jeunesse.
Bayard est un cheval-fée légendaire à la robe baie, issu de nombreuses chansons de geste du Moyen Âge chrétien, dont les plus anciennes versions remontent au xiie siècle et figurent parmi les histoires les plus populaires jusqu’au xixe siècle. Ces textes, surtout celui des Quatre fils Aymon, lui attribuent des qualités magiques et une origine surnaturelle : fils d’un dragon et d’une serpente, Bayard est libéré d’une île volcanique par l’enchanteur Maugis, puis le roi Charlemagne le donne à Renaud de Montauban, l’aîné des quatre fils Aymon. Renommé pour sa force et son intelligence, Bayard a le pouvoir de porter les quatre fils sur son dos en même temps, pour leur permettre d’échapper à la colère du roi. Livré à Charlemagne en gage de paix, il est jeté au fond du Rhin (ou de la Meuse selon le folklore et des versions littéraires plus tardives) avec une meule autour du cou. Toutefois, Bayard parvient à s’échapper et, selon la légende, continue depuis à errer dans la forêt ardennaise, où l’on entendrait retentir son hennissement à chaque solstice d’été.
