Andrea
Archives pour la catégorie Non classé
veille
PhoneBook
une association livre-iPhone très ludique (encore japonaise…)
Marie
iButterfly- english
Une idée très poétique pour attraper des iButterfly avec son Ipod qui donnent de « coupons » de réduction au japon.
Néanmoins, l’idée peut évoluer vers des indices de chasse au trésor ou autre idées…
http://www.youtube.com/watch?v=vEE6M0iW-Nw&feature=youtube_gdata_player
Marie
Frisk Built QR Code
Pub reconnaissance vocale DRAGON – Pirate
La précision : un jeu
« Le but extérieur — verser de l’eau — intéresse moins que de la verser sans toucher le bord du verre avec la bouteille, et sans verser la dernière goutte sur la nappe. Le mouvement générique est une fonction brute ; mais si un motif de perfectionnement se glisse en lui, il augmente de valeur. »
Maria Montessori, Pédagogie scientifique, la maison des enfants, op. cit., p.70— 71.
Apprendre a verser est un bon exercice d’habileté, de développement des muscles et de la motricité fine.
Talking Turtle
Ensci / Bayard
Ici est le lieu d’une réflexion autour de la presse jeunesse.
Bayard est un cheval-fée légendaire à la robe baie, issu de nombreuses chansons de geste du Moyen Âge chrétien, dont les plus anciennes versions remontent au xiie siècle et figurent parmi les histoires les plus populaires jusqu’au xixe siècle. Ces textes, surtout celui des Quatre fils Aymon, lui attribuent des qualités magiques et une origine surnaturelle : fils d’un dragon et d’une serpente, Bayard est libéré d’une île volcanique par l’enchanteur Maugis, puis le roi Charlemagne le donne à Renaud de Montauban, l’aîné des quatre fils Aymon. Renommé pour sa force et son intelligence, Bayard a le pouvoir de porter les quatre fils sur son dos en même temps, pour leur permettre d’échapper à la colère du roi. Livré à Charlemagne en gage de paix, il est jeté au fond du Rhin (ou de la Meuse selon le folklore et des versions littéraires plus tardives) avec une meule autour du cou. Toutefois, Bayard parvient à s’échapper et, selon la légende, continue depuis à errer dans la forêt ardennaise, où l’on entendrait retentir son hennissement à chaque solstice d’été.