quelques intentions… aussi

Les avantages du numérique :

  • La prise en compte du temps / temps réel
  • La capacité à évoluer, de ne pas être un résultat figé
  • L’interaction, le « feedback » sur les actions entreprises
  • La capacité d’adaptation, au contexte, à l’utilisateur
  • La capacité à enrichir le monde physique par des « méta-données », des informations complémentaires
  • Le changement de point de vue possible
  • Multiplication infinie d’un document et actualisation temps réel sur chaque instance
  • … ?

Positionnement proposé :

Je pense que nous pouvons nous concentrer sur le SDRIF (la carte synthèqe), d’une part parce qu’il y a déjà bien des choses à faire avec, que c’est un défit de conception de réussir cette synthèse, et d’autre part parce que c’est l’élément central, et que chaque concept développé pour cette carte pourra être adapté aux autres cartes.

Le problème est que ce SDRIF montre tout et donc rien, et s’adresse à tout le monde et donc personne. De plus, il n’apparaît qu’en fin de concertation comme résultat figé du travail effectué mais ne reflète pas l’échange nécessaire à son élaboration dans le temps. Il n’est jamais utilisé comme support de réflexion. Si tout le monde doit travailler à partir de ce même schéma directeur, à partir de la même base, chacun cherche à y retrouver quelque chose de différent, plus local, plus précis, plus orienté.

Nous pouvons donc tenter l’élaboration d’un support matériel comme base, éventuellement en relief, éventuellement mobile, ou avec un traitement permettant d’en faire un hologramme, etc :

> Elaboration d’une base qui propose déjà plusieurs lectures

Puis l’élaboration d’un support numérique, à travers un Smartphone ou un matériel dédié  pour un accès beaucoup plus personnel à la carte, centré sur ses préoccupations locales, et, pour une carte moins figée, qui s’élabore avec le temps, dès les premières concertations.

Il faudra que la carte puisse exister seule, avoir une vraie valeur de carte dans sa dimension purement matérielle et soit en même temps vraiment augmentée par le numérique et les jeux d’interaction et d’influence possibles entre les deux.

En somme :

Passer d’un outil de consultation et de contestation à un outil de concertation et d’élaboration collective du SDRIF.

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