Totem Digital, rue de Rivoli | Brève étude comparative

Comparatif entre la borne multimédia et le totem digital.
Le totem possède un écran bien plus large avec un contenu changeant, les twits défilent de manière répétitive et constante. Les usagers n’ont pas d’action directe sur le contenu. La qualité de l’écran, du contenu graphique visuel et textuel permet une meilleure lisibilité que celle de la borne multimédia. Ici on ne cherche pas à avoir une information, on la reçoit. Dans le dispositif de la borne multimédia du cimetière les usagers sont invités à interagir avec le dispositif car ils sont à la recherche d’une information (lieux des tombes de célébrités). Le totem digital quand à lui diffuse de l’information, c’est une fenêtre sur le site de twits @paris, recueillant les actualités de la ville de paris en temps réel. On peut s’arrêter devant et saisir une information, rester pour poursuivre la quête d’informations ou continuer noter route. La qualité graphique est supérieur à celle de la borne multimédia, ainsi que la résolution de l’écran, cependant le fond bleu et le corps trop petit de la typographie peuvent perturber la lecture. Le totem digital semble mieux répondre à son usage, cette fenêtre diffusant l’information parisienne que la borne multimédia de laquelle on attendrait une interface plus réactive et plus affordante, puisqu’il devrait y avoir interaction avec  l’utilisateur.

 

Ce contenu a été publié dans 01_OBSERVATIONS DE TERRAIN, Borne Muséographique (75014), Totem Digital (75001) par Arnaud Wink. Mettez-le en favori avec son permalien.

A propos Arnaud Wink

-- Arnaud Wink Après un Diplôme Supérieur en Arts Appliqués à Strasbourg, j'intègre l'ENSCI-Les Ateliers en septembre 2011. M'intéressant à l'innovation sociales et à la co-conception, ce cours d'anthropologie me permet d'avoir un regard plus fin, plus analytique mais aussi plus globale sur l'objet et son interaction au public. L'observation permet aussi de déceler des usages et des besoins qui ne peuvent apparaître que dans l'action, sur le terrain. Dans cette dynamique le designer se doit de concevoir des objets, avant tout pour l'humain.

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