— ENSCI – FabLab/FabFlex

Par Charlie Lavie

Au départ, nous avons choisi 2 grandes directions :

La première s’oriente sur le moulage d’objets texturés, notre positionnement se base sur la complexité de réalisation des moules industrielles : fraisage dans des blocs d’acier massif et finition puis à l’acide.
Ainsi l’opportunité de projet se situe dans la simplification de ces moules en utilisant un système de patronage de formes dans des matériaux peu coûteux et faciles à usiner : carton gris, polycarbonate, plexiglass et de les texturer afin d’éviter plusieurs étapes de conception.

Moules en polycarbonate

La deuxième se concentre sur l’accumulation de produits finis ou semi-finis pour générer des objets .
La typologie d’objet obtenue dépendra du produit semi fini utilisé.

INTRO

A l’image de différents projets réalisés :

1) Interlaced stool and coffee table de philipp aduatz ; 2) Pencils Sculptures de Jessica Drenk et Lionel Bawden ; 3) Miss-maple de Elisa Strozyk ; 4) Fijiji blocks #1 de Eduardo Benamor Duarte ; 5) The Evening Line de Greg Lynn ; 6) Design Mutation de Delolindo ; 7) Pushpin Portraits de Eric Daigh
8 ) 6302 spoons de Najla el zein

ACCUMULATIOn

En conclusion, il apparaît que la première hypothèse nécessite trop d’étapes de conception. Le principe du moulage ne permet pas de déterminer une typologie d’objet ainsi qu’un assemblage pertinent. Du fait d’un grand nombre de possibilités de moule et dans le contexte du Fab Lab la première piste ne permet pas de générer une typologie d’objets précise et donc ne dégage pas un point du vue pertinent.

Du coup, la suite de nos recherches suivra donc la première deuxième piste qui s’avère être plus pertinente et offre plus de liberté mais aussi ferme un cinétique plus proche du Fablab. L’accumulation suit un principe de répétition adapté aux possibilités d’action du robot : précisions, régularité, et temps d’actions supérieures a celles de l’homme.

De là, s’offre à nous deux positionnements :

1) On part de l’objet final et on trouve un élément (fini ou semi-fini) correspondant et cohérent à la typologie d’objet choisie.

2) On part d’un produit semi-fini, et on trouve une typologie et des paramètres qui en découlent .

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